Evelyne Brisou-Pellen est née en 1947 à Coëtquidan. Après un court séjour à Meknès, au Maroc, elle retourne à Rennes où elle obtient une maîtrise de lettres modernes et souhaite se destiner à l'enseignement. Mais son mariage et la naissance de ses deux fils retardent son projet.
C'est tout à fait par hasard, en 1977, que l'envie lui vient d'écrire un petit texte qu'elle envoie au journal auquel sont abonnés ses enfants. Elle découvre alors peu à peu le monde de l'édition et s'intéresse à la production d'albums.
Puis, un jour, l'idée d'un roman naît dans son esprit. Elle ignore ce qui se publie dans les collections pour la jeunesse et veut écrire en toute indépendance d'esprit le manuscrit qui deviendra Le mystère de la nuit des pierres. Après ce premier roman, naît l'idée d'un deuxième... et son projet de demander un poste d'enseignement se voit repoussé d'année en année. Elle commence à s'intéresser à l'Histoire, non à celle des Grands, mais à celle de la vie quotidienne de tout un chacun. La documentation, qu'elle veut la plus précise et complète possible, la passionne. Elle a fini par renoncer à l'enseignement, mais elle n'imaginait pas qu'elle rencontrerait tout de même si souvent les enfants des écoles... La différence étant qu'au lieu de les appeler « élèves », elle les appelle « lecteurs » !
C'est tout à fait par hasard, en 1977, que l'envie lui vient d'écrire un petit texte qu'elle envoie au journal auquel sont abonnés ses enfants. Elle découvre alors peu à peu le monde de l'édition et s'intéresse à la production d'albums.
Puis, un jour, l'idée d'un roman naît dans son esprit. Elle ignore ce qui se publie dans les collections pour la jeunesse et veut écrire en toute indépendance d'esprit le manuscrit qui deviendra Le mystère de la nuit des pierres. Après ce premier roman, naît l'idée d'un deuxième... et son projet de demander un poste d'enseignement se voit repoussé d'année en année. Elle commence à s'intéresser à l'Histoire, non à celle des Grands, mais à celle de la vie quotidienne de tout un chacun. La documentation, qu'elle veut la plus précise et complète possible, la passionne. Elle a fini par renoncer à l'enseignement, mais elle n'imaginait pas qu'elle rencontrerait tout de même si souvent les enfants des écoles... La différence étant qu'au lieu de les appeler « élèves », elle les appelle « lecteurs » !